L’Irlande, terre de mystères et de légendes, attire des millions de touristes chaque année. Mais cette île verdoyante est souvent sujette à des clichés qui, bien que parfois ancrés dans une réalité historique ou culturelle, peuvent donner une image réductrice. Décryptons ensemble ces idées reçues.
Un jour de pluie en Irlande – Lucy Fisher – cc
Ah, l’Irlande, où chaque jour serait un défilé incessant de nuages, déversant des pluies abondantes sur ses verts pâturages, comme si le ciel avait un robinet défectueux qu’il oubliait constamment de fermer !
Si l’on en croit ce cliché, chaque irlandais aurait un parapluie greffé à la main, une collection de bottes en caoutchouc à faire pâlir d’envie n’importe quel défilé de mode, et un sixième sens pour détecter la prochaine averse à une centaine de kilomètres.
Il est indéniable que l’Irlande, avec sa position à la frontière de l’Atlantique, possède son lot de jours nuageux et pluvieux. C’est cette pluie qui donne à l’île d’émeraude ses paysages si luxuriants et ses verts si éclatants. Le climat océanique a cette particularité d’offrir des averses intermittentes et des arcs-en-ciel impromptus, transformant chaque fenêtre en une œuvre d’art changeante.
Cependant, dire qu’il pleut « tous les jours » serait un tantinet exagéré. Les irlandais eux-mêmes aiment plaisanter sur leur météo imprévisible, disant souvent que vous pouvez vivre les quatre saisons en une journée. Et c’est peut-être là que réside la magie de la météo irlandaise : un matin gris peut céder la place à un après-midi ensoleillé, suivi d’une brève averse juste à temps pour un coucher de soleil spectaculaire.
Il est donc sage d’emporter un parapluie lors de votre visite en Irlande, mais ne soyez pas surpris si vous avez également besoin de lunettes de soleil. Et si jamais une averse vient interrompre votre promenade, rappelez-vous le dicton local : « Il n’y a pas de mauvais temps, juste des vêtements inadaptés ». Alors, chaussez vos bottes, bravez ces nuages et allez chercher votre arc-en-ciel !
Des roux à L’Irish Redhead Convention
Les cheveux roux… Cette flamboyante tignasse que l’on associe souvent à l’Irlande et l’Écosse comme le béret au Français ou la paella à l’Espagnol !
Selon ce cliché bien ancré, chaque irlandais serait un fier porteur de cette nuance ardente, émergeant comme une torche vivante dans le brouillard matinal du pays. Imaginez une île entière où tout le monde ressemble à une version de « Rebelle » de Disney, tirant fièrement sur son arc tout en fredonnant des mélodies celtiques.
Il est vrai que l’Irlande possède l’un des pourcentages les plus élevés de cheveux roux dans le monde. Environ 10 % de la population affiche cette couleur de cheveux si spécifique, ce qui est nettement supérieur à la moyenne mondiale.
Et il y a quelque chose d’intrinsèquement charmant et mystique dans cette particularité génétique, renforcée par les récits de druides, de fées et d’autres légendes locales.
Cependant, si vous atterrissez à Dublin en vous attendant à être accueilli par une armée de rouquins, vous risquez d’être un peu surpris. Les irlandais sont tout aussi diversifiés dans leurs teintes capillaires que n’importe quelle autre nation. Vous trouverez une palette complète : du blond au brun, en passant par le noir corbeau, et oui, bien sûr, cette enviable nuance de rouge.
La réalité est donc un peu moins monochrome que le cliché. Mais il y a une chose que l’on ne peut nier : chaque fois que vous croisez un véritable roux en Irlande, il y a de fortes chances qu’il le porte avec une fierté et une élégance qui rendent hommage à toutes les légendes et histoires qui entourent cette caractéristique si emblématique. Donc, même si tous les irlandais ne sont pas roux, ceux qui le sont brillent sûrement un peu plus fort !
Temple Bar pendant la Saint Patrick
Il n’y a rien de plus important en Irlande que la Saint-Patrick ! Ce jour magique où, si l’on se fie aux clichés, chaque irlandais, jeune ou vieux, enfourcherait son fidèle leprechaun pour se précipiter au pub le plus proche, armé d’une chope gigantesque et d’une soif insatiable. Selon la légende populaire, la Saint-Patrick en Irlande serait une sorte d’Olympiade de la boisson, où l’or au bout de l’arc-en-ciel serait en réalité un baril de bière.
Il est vrai que la Saint-Patrick est une fête nationale célébrée avec enthousiasme en Irlande. Et oui, cela peut inclure une pinte ou deux de la boisson noire locale dans les pubs bondés, accompagnée de chants entraînants et de danses endiablées. Les rues se teintent de vert, les défilés envahissent les villes, et l’ambiance festive est palpable.
Cependant, réduire cette journée à une simple beuverie serait comme dire que Noël se résume à manger de la bûche. La Saint-Patrick a des racines profondément ancrées dans la culture et l’histoire irlandaise. Elle commémore Saint Patrick, le saint patron de l’Irlande, crédité de la conversion du pays au christianisme. C’est un jour de fierté nationale, de rassemblement familial et de célébration de l’identité irlandaise.
De plus, la manière de célébrer la Saint-Patrick a évolué et s’est diversifiée. Dans de nombreux endroits, il s’agit autant d’art, de musique, de littérature et de danse que de lever son verre. Les enfants participent à des ateliers, les artistes se produisent dans les rues et les histoires du passé ressuscitent.
Alors, même si le monde entier semble voir la Saint-Patrick comme une excuse pour porter du vert et déguster une bière, sachez que pour les irlandais, c’est une journée qui englobe bien plus. Mais bon, si vous vous trouvez en Irlande un 17 mars, n’hésitez pas à vous joindre à la fête, chope en main, et à trinquer à la riche tapestry de l’histoire irlandaise. Sláinte !
Des irlandais déguisés en Leprechaun – garryknight – cc
Connaissez-vous les leprechauns ? Ces petits êtres espiègles, vêtus de vert, chapeau haut-de-forme vissé sur la tête, gardiens de chaudrons remplis d’or cachés au bout de l’arc-en-ciel font partie du folklore irlandais !
Et selon certains clichés, chaque irlandais passerait ses week-ends à arpenter les forêts et les collines, une petite carte au trésor à la main, espérant bien trouver un de ses fameux chaudrons d’or. Si l’on en croit cette vision, l’Irlande serait moins un pays de pubs et de musique folklorique et davantage une version grandeur nature du jeu « Cherche et trouve le leprechaun ».
Il est indéniable que les leprechauns occupent une place particulière dans le folklore irlandais. Ils sont une partie incontestable des contes et légendes qui ont été transmis de génération en génération, colorant l’imagination des auditeurs avec des récits de magie, de ruse et de richesses cachées.
Cependant, si vous demandez à un irlandais contemporain s’il croit véritablement à l’existence des leprechauns, vous risquez de récolter un sourire amusé plutôt qu’une affirmation fervente. Pour la plupart des irlandais, ces créatures appartiennent au royaume des mythes, au même titre que les sirènes ou les dragons. Ce sont des symboles de l’enchantement et de la fantaisie qui caractérisent tant de contes irlandais.
Cela dit, l’Irlande est un pays où la ligne entre la réalité et le surnaturel est souvent floue, où les paysages brumeux et les forêts anciennes peuvent facilement évoquer une sensation de magie. Et qui n’a jamais rêvé, en découvrant un arc-en-ciel se déployant à l’horizon, de trouver un petit chaudron d’or à son extrémité ?
Alors, bien que la croyance littérale en les leprechauns puisse être réservée aux contes pour enfants, leur esprit, celui de la magie, de l’espièglerie et du merveilleux, continue de vivre dans le cœur des irlandais et de tous ceux qui visitent cette terre enchantée.
Une session de musique traditionnelle irlandais dans un irish pub – © Stephen Power – Tourism Ireland
La musique est incontestablement une facette vibrante de l’identité culturelle irlandaise, ce qui a donné naissance à la perception répandue que les irlandais sont naturellement doués en musique.
Cette perception s’ancre profondément dans les traditions et coutumes du pays. Par exemple, il est courant d’entrer dans un pub irlandais et de tomber sur une session de musique traditionnelle, où des musiciens locaux se rassemblent spontanément pour partager et jouer.
L’Irlande est également reconnue pour sa richesse en instruments traditionnels, notamment le violon, le bodhrán, la flûte irlandaise et la harpe, qui sont tous devenus emblématiques de l’identité musicale irlandaise.
De plus, l’importance de la musique est mise en évidence par les nombreux festivals et compétitions organisés à travers le pays, le Fleadh Cheoil étant l’un des plus prestigieux célébrant la musique et la danse irlandaises.
L’influence mondiale de la musique irlandaise est également indéniable, avec des artistes et groupes tels que U2, Enya et The Dubliners qui ont conquis le monde.
Et il ne faut pas oublier que beaucoup en Irlande sont initiés à la musique dès leur plus jeune âge, que ce soit à la maison ou à l’école.
Cependant, bien que la musique soit omniprésente en Irlande, il serait réducteur de supposer que chaque irlandais est un musicien né. Tout comme avec n’importe quel cliché, bien qu’il puisse être basé sur certains éléments de vérité, il est essentiel de se rappeler qu’il ne peut englober toute la diversité et la nuance d’une culture.
Le fracture entre l’Irlande et le Royaume-Uni
L’histoire entre l’Irlande et l’Angleterre est riche et complexe, marquée par des siècles d’interactions, souvent conflictuelles. De cette histoire longue et parfois tumultueuse, est né le stéréotype selon lequel tous les irlandais nourriraient un important ressentiment envers les Anglais.
Cette perception trouve ses racines dans des événements majeurs tels que la colonisation anglaise de l’Irlande, les diverses rébellions irlandaises, la Grande Famine et, plus récemment, les tensions liées à la question du statut de l’Irlande du Nord.
Les tensions entre les deux pays ont souvent été alimentées par des politiques et des actions qui ont laissé des cicatrices durables dans la mémoire collective irlandaise. La Grande Famine du milieu du 19e siècle, par exemple, a profondément marqué la psyché irlandaise, car beaucoup la perçoivent comme ayant été exacerbée par les politiques anglaises de l’époque.
Cependant, en dépit de ce lourd héritage historique, la réalité contemporaine est bien plus nuancée. Les relations entre l’Irlande et le Royaume-Uni au 21e siècle sont largement pacifiques et coopératives, avec des échanges économiques, culturels et politiques. De plus, il est essentiel de distinguer les sentiments envers le gouvernement ou la politique d’un pays de ceux envers ses citoyens. Bien que des tensions historiques existent, de nombreux irlandais ont des amis, de la famille ou des collègues anglais et entretiennent des relations cordiales avec eux.
Ainsi, bien que l’histoire ait créé des tensions et des méfiances, il est réducteur et inexact de supposer que tous les irlandais détestent les Anglais. Comme pour tout stéréotype, il est important de reconnaître que derrière ces généralisations se cache une réalité bien plus nuancée et diversifiée.
Eyeries – © Tourism Ireland
L’Irlande est souvent évoquée dans l’imaginaire collectif comme une île verdoyante, de collines douces et de paysages bucoliques. Cette image idyllique de la campagne irlandaise a conduit à la croyance largement répandue que les irlandais, enracinés dans cette beauté naturelle, auraient une préférence innée pour la campagne plutôt que pour la vie citadine.
Mais c’est bien évidemment un cliché et un raccourci plutôt facile !
Certes, en se penchant sur l’Histoire, l’Irlande était en grande partie rurale, avec une population agraire vivant en étroite relation avec la terre. La culture et le folklore irlandais regorgent de récits qui célèbrent la vie rurale, les traditions agricoles et le lien sacré avec la nature. Ces récits ont certainement influencé la perception de l’Irlande comme une nation profondément attachée à ses racines rurales.
Mais tout cela a profondément changé. Avec la modernisation et l’urbanisation au fil des siècles, l’Irlande a connu un mouvement massif de sa population vers les villes, en quête d’opportunités économiques et d’un mode de vie urbain. Aujourd’hui, des villes comme Dublin, Cork ou Galway sont des centres vibrants de culture, d’éducation et de commerce, et elles attirent des résidents de tout le pays et même de l’étranger. Festives, les villes irlandaises sont devenues des lieux de vie essentiels, largement appréciés des irlandais.
L’Irlande est donc un pays qui ressemble à bien des égards aux autres pays, avec des villes importantes, et des lieux plus sauvages. Il y a donc des irlandais citadins… comme des irlandais plus campagnards !
Une pinte de Guinness – © venge
Ah, la fameuse pinte de Guinness ! Qui n’a jamais entendu dire que l’irlandais, qu’il pleuve, vente ou neige, est toujours prêt pour une bonne bière ? Le cliché persistant veut que l’île d’émeraude soit peuplée d’experts en bière et whiskeys irlandais, ayant le don unique de transformer chaque situation en occasion de lever le coude. Après tout, si vous croyez les rumeurs, un irlandais n’a pas besoin d’une montre pour savoir qu’il est « l’heure de la Guinness ».
Historiquement, l’Irlande a en effet une riche tradition brassicole et de production de whiskeys. Avec des marques mondialement reconnues comme Guinness, Bushmills, ou encore Jameson, il n’est pas étonnant que la bière et le whiskey soit devenus synonymes de culture irlandaise. Et que dire des pubs ? Ces antres de convivialité qui semblent pousser à chaque coin de rue en Irlande, prêts à accueillir quiconque avec une musique entraînante et, bien sûr, un verre bien frais.
Mais, mettons les choses au clair : même si les irlandais sont fiers de leur patrimoine brassicole, cela ne signifie pas qu’ils passent tout leur temps libre avec une pinte à la main. Après tout, il y a tant d’autres choses à faire en Irlande, comme explorer les plus beaux endroits, danser une jig, chercher des leprechauns ou, allez savoir, peut-être même boire un bon thé !
Alors, la prochaine fois que vous croiserez un irlandais, rappelez-vous : il est tout à fait possible qu’il préfère une limonade à une bière ! Mais, si c’est une bière qu’il choisit, assurez-vous qu’elle soit bien servie, car là, les clichés ont peut-être un fond de vérité !
Croix de Sainte Brigitte – amandabhslater – cc
Ah, la chance des irlandais ! Qui n’a jamais entendu parler de ce mystérieux pouvoir qui garantirait aux irlandais une chance infaillible ? Si l’on en croit ce cliché, chaque irlandais naîtrait avec un trèfle à quatre feuilles dans la poche, prêt à trouver des chaudrons d’or au pied de chaque arc-en-ciel et à éviter tous les chats noirs de leur chemin.
Il faut dire que l’Irlande possède son lot de mythes et de légendes, des farfadets malicieux aux souhaits accordés par les pierres magiques. Avec autant de folklore enchanté, il n’est guère surprenant que les gens pensent que les irlandais vivent une vie de chance permanente, se faufilant entre les gouttes de pluie et tombant toujours du bon côté de la tartine.
Mais voilà, même si l’Irlande est le berceau des contes féeriques, chaque irlandais vous le dira avec un clin d’œil : ils doivent aussi chercher leurs chaussettes disparues, attendre le bus sous la pluie et, parfois, leur tartine atterrit du côté beurré. Alors, oui, ils aiment célébrer la Saint-Patrick avec panache et peuvent porter fièrement du vert sans se faire pincer, mais la chance ? Elle est autant une affaire d’attitude que de nationalité.
Alors, la prochaine fois que vous envierez la « chance des irlandais« , rappelez-vous : il s’agit peut-être moins de magie et plus de cette étincelle dans les yeux, de cette capacité à voir le verre à moitié plein, même s’il est juste rempli de pluie irlandaise !
Un panneau en gaélique irlandais – © nordmann
Le saviez-vous ? En Irlande, on parle l’anglais mais aussi le gaélique irlandais ! Bien que cette langue soit plus minoritaire, elle n’en demeure pas moins le fer de lance de la culture irlandaise.
Ainsi, si l’on en croit certains clichés, chaque irlandais se réveillerait en fredonnant des chansons en gaélique, commanderait son petit-déjeuner dans cette ancienne langue et discuterait des derniers potins du village en utilisant des mots que seul un habitué du Gaeltacht pourrait comprendre.
Il est vrai que le gaélique, ou l’irlandais comme on l’appelle souvent, est la langue nationale et a joué un rôle essentiel dans l’identité culturelle de l’Irlande. Avec ses sonorités mélodieuses et son orthographe parfois déroutante pour le non-initié (sérieusement, combien de voyelles peut-on insérer dans un mot ?!), le gaélique est le reflet d’une histoire et d’une culture riche.
Mais entre nous, même si nombreux sont les élèves en Irlande à étudier le gaélique à l’école, cela ne signifie pas nécessairement qu’ils tiennent des conversations profondes sur l’existence humaine dans cette langue lors de leur pause café.
En réalité, bien qu’une région comme le Gaeltacht, maintienne la langue vivante et vibrante, de nombreux irlandais se retrouvent à utiliser leurs souvenirs scolaires du gaélique principalement pour chanter l’hymne national lors d’un match de rugby ou pour impressionner les touristes avec quelques phrases bien choisies.
Donc, si vous croisez un irlandais, ne soyez pas trop déçu s’il ne vous salue pas avec un jovial « Dia dhuit! » Mais qui sait ? Peut-être qu’avec un peu d’encouragement et une pinte de la boisson locale, vous pourriez le persuader de vous enseigner quelques mots pour briller lors de votre prochain quiz !
Des pommes de terres irlandaises – sea_wave
Ah, le chou et les pommes de terre, le duo incontournable du menu irlandais… du moins, selon les légendes urbaines ! Si l’on adhère à ce cliché, chaque table en Irlande serait garnie de montagnes de pommes de terre, dans tous les styles imaginables, flanquées de vertes étendues de chou, à chaque repas.
Petit déjeuner ? Pourquoi pas une omelette au chou et des frites, n’est-ce pas ?
Sans surprise, l’Irlande a une certaine histoire avec la pomme de terre. Qui pourrait oublier la Grande Famine causée par la maladie de la pomme de terre au 19e siècle ? Cette période tragique a solidifié l’importance de la pomme de terre dans le discours national, et, avouons-le, les irlandais ont une manière magique de transformer ce tubercule en délices culinaires. Frites, purée, en salade, rôties, les possibilités sont infinies!
Quant au chou, bien qu’il ne soit pas l’aliment de base le plus glamour, il a sa place dans la cuisine traditionnelle irlandaise, notamment dans le plat bien-aimé « Bacon and cabbage » (un plat à base de chou et de bacon).
Mais entrez dans une maison irlandaise moderne, et vous serez probablement accueilli par une variété de mets bien plus diverse. Les sushis, le curry, les pâtes – le palais irlandais s’est internationalisé. Bien sûr, une bonne purée peut encore faire son apparition, mais attendez-vous à ce qu’elle soit accompagnée de saveurs du monde entier.
Alors, même si l’image d’un irlandais mangeant du chou et des pommes de terre à chaque repas peut évoquer un charme nostalgique, n’oubliez pas de lui laisser de la place pour une pizza ou un burrito de temps en temps !
Après tout, la variété est le piment de la vie… et qui sait, peut-être que ce piment sera servi sur une belle galette de pommes de terre !